En collaboration avec GuerrillART et Malevola Films. Titre original : Memoria viva, Espagne – 2014, 120 min - VOSTF sous-titrée par la CNT
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Espagne
Articles
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[Film] Mémoire vivante - CNT-AIT
5 octobre 2023 -
La vie d’Anselmo Lorenzo en Bande dessinée [02]
5 avril 2023Tous ces hommes, ouvriers pour la plupart, et parmi eux, plusieurs typographes, sont tous républicains. Ce sont eux qui, virtuellement, feront naître la Fédération Régionale Ouvrière Espagnole, glorieuse ancêtre de la CNT L’UGT n’existait pas encore. Elle ne fut fondée qu’en 1888, réunissant sous ce nom les sociétés ouvrières qui fonctionnaient hors de la Fédération Régionale depuis 1871, c’est-à-dire après le voyage de Lafargue, envoyé par Karl Marx.
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Lucía Sánchez Saornil, 1895-1970. De la militance anarchiste au féminisme, de l’exil à la clandestinité
13 décembre 2022Lucía Sánchez Saornil naît à Madrid le 13 décembre 1895. Son père, Eugenio, est téléphoniste et sa mère, Gabriela, n’a pas d’activité rémunérée. Comme si la pauvreté n’était pas déjà assez accablante, Lucia perd jeune sa mère et son frère, et se retrouve seule avec son père et une petite sœur qu’elle a en charge d’éduquer.
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La vie d’Anselmo Lorenzo en Bande dessinée [07]
10 avril 2023A Paris, Lorenzo entre en contact avec les figures les plus en vue de l’anarchisme et du mouvement libéral bourgeois. C’est alors la belle époque de « L’Intransigeant », que dirige Henry Rochefort, l’évadé de la Nouvelle Calédonie, l’aristocrate communard. Le procès de Montjuich va soulever une vague d’indignation dans le monde entier. Tarrida del Màrmol, qui réussit à s’échapper de Montjuich en trompant Portes, arrive à Londres, et avec Ramsay Mac Donald, à Trafalgar Square, il dénonce au monde les tortionnaires.
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Bertoni et la Révolution espagnole
18 mai 2022, par Les amis de Louis Bertoni— Mon cher Louis, les compagnons du groupe des Italiens de CNT—FAI auraient beaucoup de joie à te revoir.
-- Bien. Je t’accompagnerai à ton prochain voyage.
Quelques jours plus tard, le milicien polyglotte de Port-Bou s’exclame, en lisant le nom de Louis Bertoni sur notre « coupe-file » : Ah ! vous allez à Barcelone participer au Meeting de Solidarité internationale.
Tiens, une belle occasion. « In petto » nous décidons que notre vieux camarade apportera la voix de sa conviction aux (…) -
Espagne (1976 – 2005) : La presse libertaire pendant la transition
9 décembre 2022Il y a eu, pendant la transition, un véritable boom des publications libertaires et de la contre-culture : des revues, des bulletins, des journaux, des fanzines… Carles Sanz, auteur du Catalogue de la presse libertaire et anarchosyndicaliste en Espagne (1976 – 2005), nous donne quelques clés.
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Diego Abad de Santillán (1897-1983)
18 octobre 2024, par Frank MintzIl est difficile de résumer la vie de Santillán, à la fois celle d’un inlassable propagandiste et d’un homme d’action, dans plusieurs pays.
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La vie d’Anselmo Lorenzo en Bande dessinée [01]
21 avril« Cette biographie de ce militant espagnol historique fut publiée en feuilleton durant l’année 1962 dans Espoir, à l’époque hebdomadaire de Midi-pyrénées de la CNT francaise.
Outre son intérêt didactique, à travers la vie de Lorenzo, c’est la création de la CNT espagnole qui est racontée, cette brochure permet de se rappeler un mode de propagande tombé dans l’oubli : une histoire racontée en image, avec quelques phrases en-dessous.
Le côté « patriarcal » (au sens strict) peut sembler aujourd’hui outrancier, néanmoins, nous avons décidé de laisser le texte tel quel. Ainsi ce texte a un autre intérêt, qui est de donner un exemple de la vision de l’anarchisme espagnol. » Claude Mariejean -
[BD] Lucía Sánchez Saornil
21 mars, par Ephéméride Anarchiste, OLTNée dans une famille modeste, elle obtient en 1916 un emploi à la compagnie de téléphone, mais poursuit des études à l’académie des Beaux-Arts. En 1918, passionnée par la poésie, elle intègre le mouvement littéraire « Ultraísmo » et publie ses premiers poèmes.
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Espagne 1963 : L’affaire Delgado-Granado
16 juillet 2024, par Miguel ChuecaMadrid, 29 juillet 1963 : à cinq heures de l’après-midi, une bombe explose dans les locaux de la DGS (Dirección General de Seguridad), le siège des services répressifs du régime, causant une vingtaine de blessés parmi les personnes présentes à la section des passe-ports . Quelques heures plus tard, une autre bombe explose, cette fois-ci au siège du syndicat « vertical » franquiste. Alors que le régime établi sur des dizaines de milliers de morts se flatte d’en avoir fini avec ses opposants (…)
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