C’est le 16 novembre 1895 que Sébastien Faure publie le premier numéro du Libertaire, en France cette fois-ci ! Le journal prend la suite des deux hebdomadaires anarchistes : La Révolte de Jean Grave et Le Père Peinard d’Emile Pouget, qui viennent d’avoir des ennuis avec la justice. Il n’est pas sans intérêt de noter qu’à la même époque, Jean Grave, qui ne désarme pas, lance Les Temps nouveaux destiné à remplacer La Révolte et dont l’audience va devenir considérable dans les milieux littéraires.
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Georges Yvetot
Articles
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« Le Libertaire » avant La Première Guerre mondiale (1895-1914)
25 février, par Maurice Joyeux -
[06] Fernand Pelloutier (1867-1901) - La Fédération des Bourses
3 avril 2020, par Georges YvetotComme l’a dit Pelloutier, la Fédération des Syndicats n’avait pas de programme. Rien chez elle ne pouvait vraiment intéresser les syndicats. En dehors de ses Congrès auxquels assistaient les syndicats parce qu’il n’y en avait pas d’autres, la Fédération ne donnait aucun signe de vie. La Fédération des Bourses, au contraire, présenta de suite une vitalité remarquable. Reposant sur le principe fédéraliste et s’interdisant toute action politique, elle offrait tous les éléments d’action utile. (...)
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[05] Fernand Pelloutier (1867-1901) - La Fédération des Bourses
2 avril 2020, par Georges YvetotAu Congrès de Marseille (1879) fut constitué le Parti ouvrier avec un double programme politique et économique.
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Un de ceux qui firent la CGT : Paul Delesalle
25 juillet 2023, par Jean MaitronPaul Delesalle n’est plus. Le mardi 13 avril nous fûmes une trentaine — quelques compagnons des luttes d’antan et quelques amis — à l’accompagner au Père-Lachaise et l’on ne peut que regretter l’absence d’une délégation ouvrière à une telle cérémonie. Certes Chambelland avait été chargé d’apporter les excuses de Léon Jouhaux empêché, mais on eût aimé, et Paul Delesalle eût aimé, que d’authentiques prolétaires, délaissant l’usine ou l’atelier, soient venus dire adieu à l’aîné qui durant (...)
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Georges Yvetot (1868-1942) [06]
19 février 2020, par Victor Méric - FlaxPour mieux comprendre Yvetot, il nous faut examiner ici les théories syndicalistes sur lesquelles nous reviendrons prochainement, quand nous présenterons d’autres militants.
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Georges Yvetot (1868-1942) [Ephéméride anarchiste]
24 février 2020Afin de compléter l’article de Flax, daté de 1908, nous reprenons ci-dessous une courte biographie extraite du site l’Ephéméride Anarchiste
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Georges Yvetot (1868-1942) [08]
21 février 2020, par Victor Méric - FlaxMais il ne fallait pas cependant tomber dans un autre travers. En attendant cette fameuse Révolution sociale dont on parle depuis bientôt un siècle, et qui tarde tant à venir, il y avait des progrès à accomplir, des améliorations à conquérir. La Révolution ne devait pas être comme une sorte de Messie toujours espéré, pour laquelle on dut oublier la situation actuelle.
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Georges Yvetot (1868-1942) [03]
16 février 2020, par Victor Méric - FlaxEn 1887, à l’âge de dix-neuf ans, Yvetot sortit de son orphelinat et commença à exercer son métier. Il entra au journal la Patrie, où il travailla pendant sept ans. On lui a reproché quelquefois d’avoir fait figure de sarrazin, c’est-à-dire d’avoir travaillé à des salaires inférieurs et de ne pas s’être solidarisé avec ses camarades de classe.
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Georges Yvetot (1868-1942) [04]
17 février 2020, par Victor Méric - FlaxIl nous faut dire ici quelques mots sur Fernand Pelloutier, qu’on affecte aujourd’hui d’ignorer, et qui fut l’un des plus dévoués et des plus clairvoyants parmi ceux qui luttèrent pour le triomphe de la classe ouvrière.
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Antimilitarisme et syndicalisme : « Le Sou du soldat » (1900-1914) [2]
24 janvier 2022, par Michel AuvrayLes premiers résultats sont somme toute modestes. Mais bientôt l’action est prise en main par le secrétaire de la Fédération des Bourses, Georges Yvetot, qui devient, après l’unité syndicale, le n°2 de la CGT. L’auteur du Nouveau Manuel du soldat —qui paraît en 1902 et évoque, bien sûr, le « Sou » dans sa conclusion— va dès lors consacrer des efforts incessants à donner vie et réalité à l’institution.
Sans attendre, il adresse à chacune des Bourses 500 lettres à faire parvenir aux (...)