Au Libertaire, en contact avec d’autres militants, Almereyda modifia peu à peu ses vues. Le défaut d’organisation qui caractérise les milieux anarchistes lui apparut très clairement.
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Georges Yvetot
Articles
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Miguel Almereyda (1883-1917) [06]
9 novembre 2020, par Victor Méric - Flax -
[04] Fernand Pelloutier (1867-1901) - La Fédération des Bourses
1er avril 2020, par Georges YvetotMais pour comprendre l’importance de la tache accomplie par Pelloutier, il faut se rappeler quelles luttes se poursuivaient entre les militants des différentes écoles socialistes se disputant la direction du mouvement ouvrier avant qu’existât la Fédération des Bourses du Travail de France. Pelloutier, dans son Histoire des Bourses du Travail, nous en donne une idée.
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Georges Yvetot (1868-1942) [08]
21 février 2020, par Victor Méric - FlaxMais il ne fallait pas cependant tomber dans un autre travers. En attendant cette fameuse Révolution sociale dont on parle depuis bientôt un siècle, et qui tarde tant à venir, il y avait des progrès à accomplir, des améliorations à conquérir. La Révolution ne devait pas être comme une sorte de Messie toujours espéré, pour laquelle on dut oublier la situation actuelle.
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« Le Libertaire » avant La Première Guerre mondiale (1895-1914)
25 février 2024, par Maurice JoyeuxC’est le 16 novembre 1895 que Sébastien Faure publie le premier numéro du Libertaire, en France cette fois-ci ! Le journal prend la suite des deux hebdomadaires anarchistes : La Révolte de Jean Grave et Le Père Peinard d’Emile Pouget, qui viennent d’avoir des ennuis avec la justice. Il n’est pas sans intérêt de noter qu’à la même époque, Jean Grave, qui ne désarme pas, lance Les Temps nouveaux destiné à remplacer La Révolte et dont l’audience va devenir considérable dans les milieux littéraires.
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[10] Fernand Pelloutier (1867-1901) - La Verrerie Ouvrière
7 avril 2020, par Georges YvetotBien méchante également fut l’accusation, bien coupable le soupçon porté contre Pelloutier au congrès de Paris, en 1900, pour lui le dernier des congrès, celui auquel il voulait absolument assister.
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Georges Yvetot (1868-1942) [06]
19 février 2020, par Victor Méric - FlaxPour mieux comprendre Yvetot, il nous faut examiner ici les théories syndicalistes sur lesquelles nous reviendrons prochainement, quand nous présenterons d’autres militants.
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Georges Yvetot (1868-1942) [04]
17 février 2020, par Victor Méric - FlaxIl nous faut dire ici quelques mots sur Fernand Pelloutier, qu’on affecte aujourd’hui d’ignorer, et qui fut l’un des plus dévoués et des plus clairvoyants parmi ceux qui luttèrent pour le triomphe de la classe ouvrière.
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[09] Fernand Pelloutier (1867-1901) - La Verrerie Ouvrière
6 avril 2020, par Georges YvetotC’est lors de la fondation de la Verrerie ouvrière que j’ai commencé à fréquenter Pelloutier. Comme représentant d’une petite coopérative du quartier où j’habite, je fis partie du comité d’initiative et ensuite du comité d’action de la Verrerie ouvrière d’Albi.
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Georges Yvetot (1868-1942) [10]
23 février 2020, par Victor Méric - FlaxVint ensuite cette fameuse affiche rouge, à propos de laquelle l’auteur de ces lignes fut bêtement calomnié. On l’accusa d’avoir rédigé sournoisement cette affiche et d’avoir refusé ensuite de la signer. Nous reviendrons, à l’occasion, sur cette affaire. Pour l’instant, notons simplement qu’Yvetot, l’un des rédacteurs, fut mieux favorisé que ses camarades. Il en eut pour 3 ans.
Sa dernière condamnation date de 1907. Poursuivi avec Marck, on lui octroya libéralement quatre années de prison. (…) -
Georges Yvetot (1868-1942) [03]
16 février 2020, par Victor Méric - FlaxEn 1887, à l’âge de dix-neuf ans, Yvetot sortit de son orphelinat et commença à exercer son métier. Il entra au journal la Patrie, où il travailla pendant sept ans. On lui a reproché quelquefois d’avoir fait figure de sarrazin, c’est-à-dire d’avoir travaillé à des salaires inférieurs et de ne pas s’être solidarisé avec ses camarades de classe.
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