Accueil > Mots-clés > Anarchistes > Élisée Reclus
Élisée Reclus
Par Nadar — Transféré de fr.wikipedia à Commons., Domaine public
Articles
-
« Celui qui commande se déprave, celui qui obéit se rapetisse. La morale qui naît de la hiérarchie sociale est forcément corrompue. »
12 mars 2022, par Elisée Reclus -
« D’abord, la science n’est pas : elle se fait. Le savant du jour n’est que l’ignorant du lendemain. »
27 avril 2022, par Elisée Reclus -
František Kupka
3 mai, par Christophe Longbois-CanilEnfant de Bohême, František Kupka (1871-1957) l’est littéralement et dans tous les sens. Précurseur de l’art abstrait, au même titre que Kandinsky, il commença sa carrière artistique dans une veine symboliste et sécessionniste avant de se lancer définitivement vers un au-delà de la figuration et de sa sacro-sainte mimésis. Ses convictions politiques et son cosmopolitisme, ses lectures philosophiques et occultistes influencèrent un travail artistique qui s’articula constamment entre le visible et l’invisible.
-
Paul Reclus
25 mai 2022, par Heiner Michael BeckerLe membre de sa famille le plus proche d’Elisée Reclus, après son frère aîné Elie, fut sans nul doute son neveu Paul, né le 25 mai 1858 à Neuilly-sur-Seine. Elisée semble avoir considéré le fils aîné d’Elie et de Noémi Reclus (avec lesquels il vivait en communauté) comme son propre enfant, du moins c’est l’impression que l’on a quand on lit ses lettres à d’autres parents. Nous allons bien ici. Notre bébé se développe en intelligence et en force, son gazouillis qui n’est pas encore devenu (...)
-
Adhémar Schwitzguébel
18 décembre 2022, par Maurice ColomboAu mois de mars 1872, après un emprisonnement de onze mois et demi, Elisée Reclus arrive en Suisse. Ce second exil durera jusqu’à l’été 1890 et lui permet, entre autres, de retrouver ou de rencontrer les anarchistes les plus connus de l’époque : James Guillaume, Michel Bakounine, Pierre Kropotkine et Adhémar Schwitzguébel.
-
Jacques Reclus
3 février, par Jean-Jacques GandiniPetit-neveu d’Elisée (NdR : fils de Paul Reclus), Jacques Reclus (1894-1984) a lui aussi fait sien l’idéal libertaire. Né à Paris le 3 février 1894, il passe son enfance en Ecosse, puis en Belgique, où il entreprend des études de sciences économiques. De retour à Paris, il continue celles-ci tout en se vouant au piano et se destine à une carrière de musicien. Il se retrouve ainsi en 1912 à Montargis, où il donne des cours de solfège à une cinquantaine de jeunes Chinois internes au lycée, (...)
-
Jean-Pierre-Michel « Elie » Reclus
16 février, par Heiner Michael BeckerJ’étais étonné de ne pas être mort, de ne pas m’être endormi en même temps que lui, écrit Elisée Reclus à une amie quelques mois après la mort de celui qui fut son compagnon le plus proche pendant toute sa vie, son frère aîné , Jean-Pierre-Michel Reclus est né le 16 juin 1827 à Sainte-Foy-la-Grande en Dordogne. On le connut toujours sous le nom d’Elie, dû à son parrain, parent éloigné de la famille et personnage fort considéré, chez lequel le pasteur Reclus avait été bibliothécaire , (...)
-
Jean Grave (1854-1939) [03]
4 février 2020, par Victor Méric - FlaxIl est né dans le Puy-de-Dôme, à Saint-Germain-Lembron en 1854. Son père était cordonnier et lui apprit son métier.
-
Léon Metchnikoff
22 avril 2022, par Peter JudLéon Metchnikoff fut l’un des meilleurs amis d’Elisée Reclus, pendant quelque temps un de ses plus proches collaborateurs, des années durant son secrétaire ; il était de plus géographe, ethnologue et anarchiste... mais qui connaît encore son nom ?
Dans le chef-d’oeuvre de Metchnikoff, La Civilisation et les grands fleuves historiques (1889), on trouve une longue préface d’Elisée Reclus, à la fois introduction et nécrologie de l’auteur qui disparut avant la publication. Citons alors de (...) -
Nadar
25 juin 2022, par Pascal BedosGaspard-Félix Tournachon n’est pas encore Nadar lorsqu’il naît le 6 avril 1820 à Paris, au sein d’une famille d’imprimeurs lyonnais. Vingt-trois années séparent ses parents qui ne se marieront qu’en 1826, après la naissance d’un second fils, Adrien. Il fréquente plusieurs pensionnats et collèges à Paris jusqu’en 1836, mais la faillite de l’entreprise familiale et la maladie obligent son père à se retirer à Lyon. Victor Tournachon y meurt, âgé de 66 ans, le 8 août 1837. Plus tard, Nadar aimera à parler des études de médecine qu’il aurait faites dans cette ville.