Un groupe d’ouvriers anarchistes (Sûrement rédigé avec Malatesta ; Umanità Nova, 10 septembre 1920).
Accueil > PARTAGE NOIR - Brochures > Italie > Anarchistes et communistes dans le mouvement des Conseils à Turin (1919-1920)
Anarchistes et communistes dans le mouvement des Conseils à Turin (1919-1920)
PARTAGE NOIR - 2020
-
Annexe - « Aux ouvriers métallurgistes »
24 janvier 2020, par Umanità Nova -
Annexe - « Sans répandre une seule goutte de sang »
25 janvier 2020, par Umanità NovaNous avons dit que la nouvelle méthode d’action révolutionnaire entreprise par les ouvriers métallurgistes de prendre possession des usines, si elle était suivie par toutes les autres catégories de travailleurs, de la terre, des mines, du bâtiment, du chemin de fer, des dépôts de marchandises de tout genre, des moulins, des fabriques de pâtes alimentaires, des magasins, des maisons, etc., amènerait la révolution, qui se ferait même sans répandre une seule goutte de sang.
-
Annexe - « La propagande du camarade Errico Malatesta »
26 janvier 2020, par Umanità NovaUmanità Nova du 16 septembre 1920.
Dans l’après-midi d’hier notre camarade Errico Malatesta a visité les établissements métallurgiques Levi e Bologna, et l’usine de chaussures Bernina, invité par les ouvriers de ces usines.
Dans les trois établissements le travail continue dans l’ordre, malgré l’absence des techniciens et des employés. L’enthousiasme est très vif et tous les ouvriers n’entendent plus céder les usines à l’exploiteur oisif : l’ancien patron.
Errico Malatesta a parlé, (...) -
Annexe - « Tout n’est pas fini ! »
27 janvier 2020, par Umanità NovaDans l’après-midi du 20, Errico Malatesta, réclamé avec insistance, se rendait à l’atelier de Fibre Vulcanisée rue Monza à Milan, malgré la « fête nationale » on y travaillait ferme, comme du reste dans les autres ateliers occupés.
-
Annexe - « La propagande de Errico Malatesta »
28 janvier 2020, par Umanità NovaUmanità Nova du 23 septembre 1920.
Accueilli par la sympathie habituelle des ouvriers, le camarade Malatesta a visité hier après-midi les Ateliers Mécaniques Italiens et l’établissement Moneta à Musocco. Désorientés, trompés et déçus par les tergiversations, les promesses illusoires et les expédients de basse politique de leurs propres dirigeants, les ouvriers attendaient avec anxiété une parole claire et sincère, une parole qui les rassurât et leur redonnât du courage.
Ceux qui (...) -
Annexe - « Deux jugements historiques sur les conseils en Italie »
29 janvier 2020, par Errico MalatestaUmanità Nova du 28 juin 1922.
L’occupations des usines. — Les ouvriers métallurgistes commencèrent le mouvement pour des questions de salaires. Il s’agissait d’une grève d’un genre nouveau. Au lieu d’abandonner les usines, ils restaient dedans sans travailler, en les gardant nuit et jour pour que les patrons ne puissent lock-outer.
Mais on était en 1920. Toute l’Italie prolétarienne tremblait de fièvre révolutionnaire, et le mouvement changea rapidement de caractère. Les ouvriers (...) -
Annexe - Luigi Fabbri
30 janvier 2020, par Luigi FabbriSi elle s’était étendue à toutes les autres catégories professionnelles, et si elle avait été soutenue par les partis et les organisations du prolétariat, l’occupation des usines, en août-septembre 1920, aurait pu entraîner une des révolutions les plus radicales et les moins sanglantes que l’on puisse imaginer.