En 1930, dans son Nouvel Age littéraire, Poulaille écrivait : Neel Doff est l’écrivain qui a su le mieux montrer la misère dans son absolue nudité, dans toutes ses horreurs morales et physiques. Nulle œuvre n’est plus authentique de ton que la sienne. (...) Chez Neel Doff, c’est instinct pur. Un livre comme Jours de famine et de détresse est un document inouï. (...) On n’analyse pas l’art d’une Neel Doff, on le sent et on l’admire, ou l’on ne le sent point et l’on hausse les épaules. C’est (…)
Accueil > Mots-clés > Ecrivains > Neel Doff