Si Aigues-Mortes était un roi, elle serait Saint Louis. Si elle était un animal, elle serait une baleine.
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[BD] Ritals en eaux mortes [05]
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En 1881, Les Bouches-du-Rhône comptent 66 700 Italiens. Sur 589 000 habitants, 57 900 Italiens habitent à Marseille.
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[BD] Ritals en eaux mortes [06]
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À la fin du XIXe siècle, 300 000 Italiens résident en France, ils acceptent les travaux que les Français refusent.
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Pour avoir une main-d’œuvre au moindre coût, la Compagnie des Salins du Midi utilise l’hostilité des ouvriers français envers l’« envahisseur » italien.
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[BD] Regeneración - Journal indépendant de combat ! Les anarchistes dans la révolution mexicaine - Brochure [PDF]
7 août, par Partage Noir
Les brochures Partage Noir sont réalisées avec les logiciels libres #GIMP #Inkscape #Scribus
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Ramón Acín
6 août, par F. P.
Dans son autobiographie ( Mon dernier soupir), Luis Bunuel raconte qu’alors qu’il parlait à ses amis de ses difficultés financières pour tourner son film los Hurdes (Terre sans pain), l’anarchiste Ramón Acín lui promis de l’aider s’il gagnait à la loterie. Il gagna et il tint sa parole.
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Pierre Martin, militant anarchiste de la fin du siècle dernier
6 août, par Carole Reynaud-Paligot
Pierre Martin, que l’on surnomme très tôt le « bossu », est né à Vienne, petite ville de l’Isère située à une trentaine de kilomètres de Lyon, en 1856. De condition très modeste, sa mère est servante dans une ferme, il devient tisseur, très jeune, comme la majorité de ses compagnons viennois.
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Interview de Léo Voline
5 août
Troisième fils de Voline, Léo Eichenbaum (plus connu sous le nom de Léo Voline) est né le 4 janvier 1917. Très tôt, il partage les idéaux de son père et, au début de l’année 1937, gagne l’Espagne pour être incorporé dans la Columna confederal de la CNT.
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Programmes de Radio Libertaire du 4 au 10 août 2025
5 août, par Partage Noir
Demandez le programme de #RadioLibertaire 89.4 MHz Paris - #podcasts #RSS #Stream ---> https://urlr.me/tEN2s9
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[BD] Jeanne Humbert : « Abolissez la pauvreté et vous pourrez démolir les prisons. »
1er août, par MLT,
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En application de la loi du 31 juillet 1920, réprimant la propagande anticonceptionnelle, Jeanne et Émile Humbert seront condamnés à 2 ans de prison et 3 000 francs d’amende le 5 novembre 1921.
Jeanne est incarcérée à la prison pour femmes de Saint-Lazare à Paris dont les « Sœurs des prisons » surveillent les services intérieurs. Le son métallique des clefs sur le crucifix est orchestré par le directeur.
Jeanne va découvrir l’immonde promiscuité et la vermine des dortoirs et la repoussante saleté des ateliers et des cellules.
Les condamnées sont exploitées au travail, procurant de fructueux bénéfices à l’administration civile de la prison et à la communauté, car les salaires que l’on accorde aux ouvrières sont dérisoires.
Elle obtient son transfert à la prison de Fresnes où le silence total est exigé des prisonnières.
« Pour être libérée quelques mois plus tôt. J’allais payer cher chaque heure de liberté supplémentaire ! » Sa libération conditionnelle est effective le 14 octobre 1922.
« Après la prison, ça laisse des séquelles. Ruine totale, payer les amendes… Avec l’arrêt de tout. Il a fallu gagner sa vie... ». Jeanne Humbert écrit nombre d’articles et d’ouvrages. Ses livres Le Pourrissoir (1932), Sous la Cagoule (1933), paraîtront sous forme de feuilletons dans Police Magazine. Jeanne Humbert y témoigne de ses mois d’internement, pour ses idées, dans les prisons pour femmes de Saint-Lazare et de Fresnes : « Je n’ai fait qu’apprendre aux pauvres les procédés qu’emploient les riches pour limiter leur progéniture ». Police Magazine est disponible gratuitement en PDF sur le site du Musée numérique Criminocorpus à cette adresse : criminocorpus.org
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